Ou comment l’affaire CheckMyMetro montre l’inventivité des développeurs :
Mais, loin de se laisser abattre, CheckMyMetro a réussi a inversé la tendance en laissant un grand jeu concours. Les utilisateurs par le biais de logiciel comme Photoshop ou Gimp ont développé des cartes personnelles du métro. On peut en voir quelques exemples des gagnants sur ce lien : http://www.ecrans.fr/Concours-de-plans-de-metro,13593.html
J’en vois déjà dire que ce n’est qu’un coup de pub. C’est probablement vrai en partie. Mais à travers cet exemple, on peut voir ce que peut réellement donné l’open data. Des personnes qui codent en java ou en C et qui reçoivent de l’aide de personnes qui n’ont pas forcément de grandes compétences informatiques mais des idées. D’ailleurs, je ne suis pas le seul à voir dans cet exemple un possible futur qui s’ouvre sur l’open data. Et oui, même le gouvernement a salué cette initiative et l’aide à sa manière en lançant sa plateforme « Etalab »qui regroupera différents logiciels basés sur l’open data.
Publié par Jean-Alexandre SAINT-GERMAIN
Tags : Open data, CheckMyMetro, Etalab
http://www.ecrans.fr/Concours-de-plans-de-metro,13593.html
"écoutez bien que je ne le répéterais pas " = non
RépondreSupprimer"y a incorporer "= incorporé
"que seul la RATP est censé diffusé. "= "que seule la RATP est censée diffuser"
"a réussi a inversé" = "a réussi à inverser"
Je m'arrête là pour l'orthographe, il y en a d'autres !
Sur le fond, ce que cela montre est que, si les institutions ne fournissent pas les données, c'est le public qui va les créer.